lundi 12 décembre 2011

Les Grenadines (2ème partie)

Jeudi 1er - Vendredi 9 décembre

CANOUAN

Nous passons une nuit à Canouan avant de rejoindre les Tobago Cays, où nous allons retrouver notre ancien skipper de Martinique, Louis-Pierre en croisière avec deux couples.


Sur ces îles relativement isolées, il est parfois difficile de trouver à se ravitailler. Quand les superettes sont ouvertes, il y a très peu de produits frais, voir pas du tout et pas de viande. Quand nous n'avons pas de poissons, les repas peuvent devenir un vrai casse-tête.

TOBAGO CAYS

L'eau devient de plus en plus turquoise, nous entrons dans les Tobago Cays. Il s'agit d'une suite de cinq îlots inhabités accessibles uniquement en bateau. 

Nous mouillons devant l'île de Baradal dans un eau translucide malgré un temps capricieux. C'est un vrai aquarium géant où se mêlent raies, poissons de toutes sortes, tortues, requins...

Nous faisons la connaissance de deux familles françaises, l'une partie en année sabbatique comme nous avec leurs trois filles et l'autre naviguant depuis 17 mois avec leurs deux enfants, pour une durée indéterminée. Nous projetons de faire un petit bout de chemin ensemble dans quelques mois, lorsque nous monterons dans le nord de l'arc antillais.  

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Nous partons de bon matin découvrir la petite île de Baradal devant laquelle se trouve Wahoo.


Des cactus impressionnants.

Une végétation étonnante.

Depuis Moustique, Emalia adore les tortues de terre.

Les iguanes aussi, mais de loin...

Nous allons en annexe découvrir l'île de Petit Rameau.

Le temps n'étant pas au rendez-vous, nous quittons les Tobago Cays avec la ferme intention d'y revenir en fin d'année profiter à nouveau de ce cadre magnifique.

MAYREAU
Nous mouillons à Mayreau, le long d'une plage quasi-déserte. Guillaume pêche quelques langoustes pour le déjeuner.

L'île de Union, proche de Mayreau, en fin d'après-midi.

UNION ISLAND

Nous mouillons devant le village de Clifton.

Le place du centre-ville.

Une vendeuse de fruits et légumes.

Les enfants semblent très intéréssés par le petit dauphin d'Emalia qui ne le voit pas du même oeil.

L'influence Rasta est omniprésente.

Nous sympatisons avec les boy boats de Union, notamment avec ce pêcheur qui nous ramènera et nous préparera une bonne dizaine de poissons provenant de son casier...

...dont trois poissons-coffres.

PALM ISLAND

Palm Island est une île privée de 1km² qui se situe juste en face de Union.

Nous apprenons que l'accès à la plage est strictement réservé aux clients de l'hôtel.

Tant pis, nous déjeunons et mettons les voiles vers la prochaine île, Petit-Saint-Vincent.

Marjorie veille au grain sur l'espace trampoline.

PETIT-SAINT-VINCENT

Un ancien pilote de l'US Air Force a racheté dans les années 50 cette île d'1 km² pour en faire une île-hôtel privé.


Nous profitons de la plage, cette fois-ci accessible à tous, pour se baigner et jouer avec les crabes.

MORPION

A côté de Petit-Saint-Vincent, nous passons par une curiosité naturelle : Morpion.

Il s'agit d'une minuscule île (320 m² de superficie) comme on en voit sur les cartes postales. Du sable blanc parsemé de millions de morceaux de corail rose. Et un parasol en bois pour les pic-nics. Une vraie merveille !!

L'eau est translucide, parfait pour voir les poissons même sans masque. Emalia est ravie de découvrir cette mini-île.

Marjorie a mis 30 secondes pour faire le tour en courant (ce qui donne, où non, une indication sur la grandeur de cette île).

Nous passons une bonne heure sur Morpion (tant que nous sommes les seuls) entre baignade, plongée et châteaux de sable.

Nous reprenons notre parcours vers le sud et quittons l'état de Saint-Vincent et Grenadines pour aller vers l'état de Grenade et ses îles. Nous prochaine escale est l'île de Carriacou.

2 commentaires:

  1. Magnifique la nouvelle photo de présentation. Et j'adore la tête des poissons coffres! Pas mal les Tobago et Morpion, quel paradis...
    Bon vent! On vous embrasse très fort.
    Caro S.

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  2. Bonjour! Nous suivons votre périple avec attention car nous devons partir sur WAHOO en juillet 2012.
    Une question nous taraude : pourquoi avoir choisi de ne pas arpenter la côte du Vénézuela et de mettre le cap au Nord tout de suite ?

    Voici notre mail si vous souhaitez nous répondre nous en serons ravis.
    flobrunet@wanadoo.fr
    Bon vent pour la suite de votre aventure......
    La famille BRUNET

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